Chapitre 968
Phibi a jeté un regard sur Mireille en demandant:
– Qu’est–ce qui se passe ? Tu es sa femme ?
Mireille a dit en pleurant :
– Non, je ne suis pas sa femme. C’est lui qui m’a obligée à le faire !
Phibi a jeté un regard sur le surveillant et dit d’un ton froid:
Elle a nié ce que tu as dit. Ne me cherche pas des noises.
Ces derniers jours, Mireille lui donnait un plaisir sublime. En tant que plouc, il n’avait jamais fait l’amour avec de belles femmes de la ville. Donc, il était accro à Mireille.
Il ne voulait pas que ces gens emmènent Mireille.
Ainsi, il a dit d’une voix froide :
– Je m’en fous. Je te répète, elle est ma femme!
Phibi a reniflé : ·
Tu cherches la mort. Alors je vais t’aider.
Ceci dit, il a sorti un pistolet de sa poche et l’a retourné contre le surveillant. Sans aucune hésitation, il a tiré une balle.
Avec une dénotation, une balle a instantanément pénétré dans la tête du surveillant.
Le surveillant, qui était arrogant tout à l’heure, était mort.
Mireille a crié de peur, tandis que Capucine était excitée. Elle pensait qu’elle a trouvé l’opportunité de se sauver !
Donc, elle a dit à Phibi à la hâte :
Monsieur, nous étions aussi enlevés de force. Je te prie de nous emmener avec toi !
A ses mots, Mireille a dit en toute hâte :
Mireille ne s’attendait pas à ce que Phibi tue deux personnes en un clin d’oeil. Elle a tressailli.
Pourtant, les parents de Capucine se sont précipités sur son corps en criant.
A leur surprise, Capucine, qui était bien vivante, a décédé.
Mais il n’y avait rien à faire. Ils n’osaient pas se venger de Phibi ou de Mireille. Ils ne pouvaient que pleurer. Phibi n’a attaché aucune importance à cette famille. Il s’est retourné et a dit à ses subordonnés :
– L’avion attend à l’aéroport. Dépêchons–nous !
Mireille, abasourdie, était immédiatement poussée dans une voiture.
Phibi est également montré dans sa voiture. Il a ouvert la fenêtre et retourné son arme contre la famille de Capucine pour leur interdire de faire des mouvements.
Heureusement, sa famille avait une peur bleue et n’a pas osé bouger.
Ensuite, le convoi a quitté la mine et s’est dirigé vers l’aéroport !
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