Chapitre 737
Lorraine était extrêmement peinée maintenant.
Elle n‘a rien mangé depuis plus de 12 heures et a aussi reçu une dérouillée, elle avait déjà une faim de loup depuis longtemps. Et encore, même si elle pouvait se retenir de ne pas manger, elle n‘avait pas de moyen pour empêcher son estomac de gargouiller!
Cependant, elle n‘osait pas offenser Josette, après tout, cette dernière était vraiment d‘une notable férocité.
Quand Lorraine prialt silencieusement dans son coeur pour pouvoir s‘endormir le plus vite possible, son estomac a gargouillé de nouveau.
Josette s‘est immédiatement levée, et s‘est précipitée devant Lorraine. Sans la moindre hésitation, elle a donné une gifle à toute volée au visage de Lorraine qui était déjà très rouge et enflé.
Lorraine a crié de douleur et a dit d‘un ton suppliant : – Je suis désolée, je suis désolée, je n‘ai pas fait exprès... Par manque de deux dents de devant, Lorraine articulait mal maintenant. Alors Josette lui a de nouveau donné une gifle et a grondé : – Merde, ta langue a été coupée ? Tu ne peux pas parler clairement ? Parle plus fort et plus clairement !
Lorraine a dit à la hâte à haute voix :
– Je suis désolée ! Je n‘ai pas fait exprès...
Mais malheureusement, à peine avait–elle proféré ces mots qu‘un crachat a été soudainement pulvérisé de sa vacance de deux dents de devant jusqu‘au visage de Josette.
Josette a immédiatement passé la main sur son visage, en touchant le crachat de Lorraine, elle a attrapé les cheveux de Lorraine avec colère et l‘a directement traînée dans les toilettes par les cheveux.
– Lorraine, dieu sait tout, tu m‘as mise à la porte de la villa du Quartier Glitact, mais maintenant, tu en es arrivée là sans y avoir dormi pendant une seule nuit ! Tant pis pour toi! Réveille–toi, tu n‘as pas du tout la chance de vivre dans le Quartier Glitact !
Lorraine a dit en pleurant: – Maman, je suis désolée, j’avais vraiment tort, je te prie de dire à Josette de ne plus me battre !
– Tu avais tort ? Comment est–ce possible ? a dit Mme Xavier en ricanant, ne pense pas que je te croirai ainsi sur parole ! Je sais très bien ce que tu es, si je n‘ai pas Josette et d‘autres détenus derrière moi, tu aurais déjà dû me flanquer une rossée !
Mme Xavier et Lorraine étaient en fait les pareils, donc elles se connaissaient très bien l‘une l‘autre. Mme Xavier savait très bien dans son coeur que ni Lorraine ni elle–même ne pouvaient vraiment se soumettre à une autre personne, à moins que la situation soit très urgente.
Donc, bien que Lorraine se montre si humble devant elle maintenant, elle se vengerait sûrement d‘elle avec beaucoup plus de férocité tant que l‘occasion s‘en offrirait.
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