Chapitre 4163
Effectivement. Anderson n’a pas reconnu Adolphe Il a eu un sourire amer et a murmuré:
Non je ne mérite pas le titre…..
Cormer a dit en souriant :
Monsieur, ne fais pas attention à ce qu’il dit, il a eu un choc ! Ben, nous n’avons pas encore mangé, et vous pourriez servir à manger? Je vois que deux jounes gens viennent d’entrer.
Adolphe était profondément soulagé qu’Anderson ne l’ait pas reconnu, et il a dit :
– En fait, on est déjà fermé, les deux jeunes que vous venez de voir sont les enfants de mon ami, et ils n’ont pas encore déjeuné juste comme vous, alors je les laisse monter !
Cela dit, Adolphe a ajouté:
Mais maintenant que vous êtes là, ben, prenez place au premier étage, et je vous apporte votre commande !
Cormier a hoché la tête et a dit en souriant:
– D’accord, merci, monsieur !
Cela dit, il a dit à Anderson:
Assieds–toi, Anderson, on va goûter le meilleur canard rôti de New York!
Anderson a pincé les lèvres et a dit :
– Franchement, j’ai plus envie de prendre un verre en ce moment.
Cela dit, il a jeté un coup d’œil à la petite armoire à vin qui se trouvait derrière le comptoir et a demandé à Adolphe avec étonnement :
– Monsieur, vous avez même des vins blancs ?!
Adolphe a dit avec un sourire:
– Oui, je les importe du Pays C, vous voulez une bouteille ?
Anderson a dit avec joie :
– Oui, apporte–nous deux bouteilles, s’il te plaît !
Cormier ne pouvait s’empêcher de demander en rigolant :
– Es–tu sûr de vouloir boire autant à midi? Tu ne travailles plus l’après–midi ?
Anderson a secoué la tête et a dit :
– De toute façon, je ne peux pas trouver d’indice, et je préfère dormir au bureau cet après–midi! Ça fait déjà deux jours que je n’ai pas dormi et j’ai envie de dormir un peu.
Cormier a hoché la tête et a dit :
Apres tout, d’un côté, il avait vraiment envie de tracer une ligne de démarcation claire avec la famille Breguet, mais de l’autre côté, il ne pouvait pas résister à l’envie d’aller saluer Cormier pour lui demander pourquoi les Breguet avaient tant méprisé son père à cette époque–là et s’ils connaissaient les causes réelles de la mort de ses parents.
Clothilde a vu le trouble de Clément, et elle a demandé doucement en lui prenant la main :
-Qu’est–ce qui ne va pas, Clément ?
Non, je vais bien.
Clothilde a repris d’un air sérieux :
Est–ce que tu te sens un peu dépaysé à cause de ton oncle?
—
Oui… a dit Clément, la tête baissée.
En voyant Clément ainsi, Clothilde avait le cœur serré,
Comments
The readers' comments on the novel: Homme Inaccessible (Français)