Chapitre 2574
–
Tu as aussi entendu parler de cette famille ? a demandé Clément avec curiosité.
Hamid a déclaré :
–
J’ai étudié à la Cité Y à l’époque, là, la famille Huet, la famille Chappuis, sont toutes des familles de premier plan du Pays C, bien sûr que je connais.
Sur ce, Hamid a demandé :
– Ai–je bien deviné?
Clément a hoché la tête et dit :
–
– C’est vrai, mon nom de famille est Huet.
Les sept autres étaient presque entièrement abasourdis.
Ils étaient tous très performants dans le domaine de la finance, connaissant ainsi les situations économiques des différents pays et savant naturellement la force de ces familles.
Dès qu’ils ont appris que Clément était un membre de la famille Huet, ils ont immédiatement compris pourquoi Clément a pu arriver en Syrie en prenant un avion Concorde en si peu de temps.
C’était grâce à la force de la famille Huet!
Dommage qu’ils aient énervé Clément !
Hamid a immédiatement levé le pouce et a dit :
–
Je ne m’attendais pas à ce que tu sois vraiment membre de la famille Huet, et c’est vraiment admirable que tu es arrivé ici tout seul !
Clément a souri légèrement :
–
C’est pas important. Au fait, tu est très gentil.
Hamid a dit avec enthousiasme :
Je n’ai vraiment pas prévu de rencontrer un membre de la famille Huet aujourd’hui, quel destin!
Après avoir dit cela, il a dit :
–
Puisque Dieu a fait en sorte que nous nous rencontrions, si tu veux, à partir de maintenant, nous sommes amis !
Clément a dit sérieusement:
– Puisque tu dis cela, nous serons désormais amis !
–
Axelle ! Pourrais–tu supporter de nous laisser ici? Tu es tout simplement inhumaine ! C’est pour toi que je suis venu dans ce pays !
Les deux autres filles ont étouffé des sanglots,
Axelle, nous sommes tous de bons amis, comment peux–tu nous laisser ici, si tu nous laisses, nous serons sans aucun doute morts…
Le garçon d’origine indienne a également pleuré et a dit :
Axelle, tout est de ma faute, je ne veux pas mourir, mes parents ont économisé avec peine pour me permettre de continuer dans mes études, je ne peux pas mourir ici.
Axelle ne supportait pas non plus, et elle a regardé Clément avec les yeux plein de larmes.
Mais Clément a dit froidement :
–
Ne vous inquiétez pas, les soldats américains viendront à votre secours.
Lorsqu’il a terminé, il a regardé Axelle et lui a dit :
–
C’est l’heure de quitter, Axelle !
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