Homme Inaccessible (Français) novel Chapter 1994

Chapitre 1994

À ce moment-là, le moteur de l’hélicoptère a fonctionné, puis il a accéléré sans cesse, et a commencé à s’envoler lentement.

Cédric s’est dit que c’était bien de profiter de cette occasion pour voir la vue de Tokyo d’en haut.

Alors qu’il y réfléchissait, une voix féminine venant de son casque a retenti:

Le numéro deux et le numéro trois décollent, le numéro quatre et le numéro cinq démarrent les moteurs, le numéro six et le numéro sept commencent à préparer |

Cédric, un peu perplexe, s’est demandé ce que c’était ! Ces numéros, et de quoi elle avait parlé.

– M. Cédric, les deux autres hélicoptères décollent aussi sur le toit, et ils ressemblent exactement aux nôtres ! a dit son assistante avec stupéfaction, le doigt pointé sur les toitures plates des autres bâtiments de part.

Après avoir tourné la tête, Cédric a vu que deux hélicoptères identiques des deux côtés décollaient en même temps.

Ceux-ci étaient du même modèle que celui dans lequel ils se trouvaient, même leurs apparences étaient pareilles, ils étaient écrits l’Air Nakayama.

Cédric, sidéré par cette scène, a demandé à la femme:

Ces deux avions sont aussi à vous ?

Celle-ci a hoché la tête en souriant:

C’est une escorte pour vous pendant le vol.

C’est à dire quoi ? Une escorte pendant tout le vol ? a interrogé Cédric, perplexe.

La femme a expliqué en souriant:

–

–

Ils vous escortent tout au long du vol, monsieur, tout comme un convoi automobile.

Euh… Est-ce vraiment nécessaire ? Ce serait cher, a demandé Cédric, interloqué.

Immédiatement après, ces deux hélicoptères étaient derrière lui.

Bientôt, ces deux noires de la taule d’une fourmi étaient de plus en plus grandes dans sa vue, et il était

facile de reconnaître qu’il s’agissait bien de deux hélicoptères.

L’escorte est passée de cinq à sept.

Cédric est resté bouche bée par cette scène !

Il n’arrivait pas à comprendre pourquoi Clément l’a fait, et s’est demandé que c’était la peine de le

chercher avec une telle cavalerie!

–

Ce n’est pas bien de décoller deux par deux, quatre par quatre alors ! a ordonné la femme.