Chapitre 1903
Mme Xavier ne s’attendait pas à ce qu’après une dure journée de travail, non seulement elle n’ait pas pris un taxi pour faire des économies, mais lorsqu’elle est arrivée dans le quartier, elle ait été giflée par une femme qu’elle ne connaissait pas.
La femme l’a grondée :
Vieille femme, tu transportes tant d’ordures et tu oses dire que tu vis dans le Quartier Glitact, tu es folle toi!
Immédiatement après avoir a dit cela, elle a crié à l’agent de sécurité qui se trouvait non loin de là:
Hé, dépêchez-vous de venir ici, êtes-vous aveugle ? J’ai payé plus de deux millions d’euros pour une maison ici et c’est comme ça que vous nous servez ? Comment osez-vous laisser entrer ce genre de femme, vous êtes tellement irresponsable.
L’agent de sécurité était également nerveux.
Mme Xavier avait l’air un peu pauvre et ne ressemblait pas, à première vue, à une vieille dame issue d’une famille aisée.
De plus, elle portait quatre grands sacs en plastique remplis de restes, et elle ressemblait encore moins à la propriétaire du Quartier Glitact.
Il lui a donc dit:
Excusez-moi, madame, mais il s’agit d’une résidence privée et personne d’autre ne peut aller et venir à sa guise, alors veuillez partir.
Mme Xavier a tremblé de colère.
Elle n’était pas propriétaire du Quartier Glitact, mais elle y résidait ! Et elle vivait dans la villa la plus élevée du quartier ! Pourquoi devrait-elle être battue et expulsée ?
Furieuse, Mme Xavier a immédiatement sorti sa carte d’accès, l’a agitée plusieurs fois dans la main et a dit avec colère:
Regardez, c’est la carte d’accès au Quartier Glitact!
L’agent de sécurité et la femme se sont figés.
La carte d’accès du Quartier Glitact était très bien conçue, avec le logo unique du Quartier Glitact, et toutes les personnes présentes connaissaient cette carte.
L’une était les propriétaires, les personnes dont les noms étaient clairement indiqués sur le certificat de propriété de l’immeuble.
L’autre était celle des autres résidents.
Il ne fallait cependant pas sous-estimer ces gens.
Après tout, la plupart des résidents étaient des membres de la famille du propriétaire, et même s’ils ne l’étaient pas, ils étaient probablement des amis du propriétaire.
Pour exemple, Gisèle Poincaré, en tant que chef actuel de la famille Poincaré, était très connue dans la Cité J. Si elle avait acheté une villa ici et y habitait avec sa famille, elle en serait la propriétaire, tandis que son grand-père, les autres membres de la famille seraient les résidents de ce quartier.
Bien qu’ils ne soient pas les propriétaires, ils n’étaient pas des personnes que l’on pouvait se permettre d’offenser parce qu’ils étaient proches des propriétaires.
Lorsque la femme d’âge moyen a vu que Mme Xavier était vraiment une résidente de la Villa A04, elle a pâli de peur !
Même si elle possédait quelques millions, sa famille n’était que dans la classe moyenne de la Cité J. II était impossible qu’elle puisse s’offrir une villa, qui coûtait plus de dix millions comme celle de Mme Xavier.
Comments
The readers' comments on the novel: Homme Inaccessible (Français)