Chapitre 1867
Clément a invité la foule à entrer dans la villa.
La foule a alors demandé à leurs subalternes de sortir les cadeaux préparés de la voiture, et on a vu alors au moins vingt à trente personnes, tenant toutes sortes de coffrets cadeaux haut de gamme, faire la queue pour entrer dans la villa.
Non loin de là, Mme Xavier, habitante de la villa A04, a murmuré avec étonnement:
–
– Cest comme s’ils présentaient des cadeaux au roi!
Mireille, mal à l’aise, a dit:
Ces gens sont riches et puissants, ces cadeaux valent plus de 10 millions d’euros?
Vivian était envieuse:
– Pas moins de 10 millions, cette villa vaut déjà 10 millions.
Mme Xavier souffrait beaucoup:
Ben ça suffit, je ne veux pas regarder ça.
Sur ce, elle s’est retournée et est rentrée dans la chambre.
Mireille a dit avec dépit :
Moi aussi, je suis envieuse.
En regardant Yvon suivre Vincent dans la villa de la famille de Clément, Vivian a encore plus mal au
cœur.
Hugo était alors allongé sur le lit et se lamentait:
Maman… Grand–mère… J’ai tellement faim, au lieu d’être tués par les hommes de Mathieu, papa et
moi allons mourir de faim!
Mme Xavier s’est empressée de dire:
Vivian, tu as dit que tu allais chercher du travail aujourd’hui, non ? Dépêche–toi de sortir et de
chercher !
Après avoir dit cela, Mme Xavier a de nouveau regarde Mireille et l’a grondée:
Mireille, il faut que tu trouves un travail pour nourrir la famille aussi !
Mireille a acquiescé et a dit avec colère :
Je peux y aller, mais notre famille manque tellement d’argent en ce moment que si je vais travailler, tu devras y aller aussi !
Mireille a ricané:
Tu n’as pas besoin d’en dire autant, tu peux rien faire, mais je ne peux pas te donner aucun sou si je gagne de l’argent !
Mme Xavier a dit avec difficulté:
– On ne peut pas tous travailler, il faut que l’un de nous s’occupe de Brice et Hugo.
Mireille a dit :
–
– Ils sont paralysés et tu n’es pas capable de les aider
Mireille regardait alors Vivian et lui a dit:
Vivian, tu restes pour t’occuper de ton papa et de ton frère, je vais aller chercher du travail avec ta grand–mère.
Vivian a acquiescé doucement:
– D’accord.
A ce moment–là, Clément était à la maison.
La jambe droite de Lorraine était plâtrée et la scène qui s’est déroulée devant elle l’a laissée abasourdie.
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