Chapitre 1631
En entendant cette voix, Shiko était extrêmement effrayé !
Cette voix a vraiment confirmé l’hypothèse la plus terrifiante dans son cœur !
« Cet homme est donc là depuis tout ce temps et n’est jamais reparti !>
* Et du début à la fin, je n’ai entendu ni sa respiration ni ses battements de cœur, comment a–t–il fait ? !»
* De plus, il m’a tapoté deux fois l’épaule, ce qui prouve qu’il a été près de moi au moins deux fois, mais je n’ai rien entendu, même pas le bruit de ses pas !
En ce moment–là, il voulait inconsciemment se retourner et lancer le shuriken, mais au fond de son cœur, il était un peu inquiet.
Après tout, il n’avait que six shurikens sur son corps, il en avait déjà lancé quatre tout à l’heure, et ces deux shurikens dans sa main étaient les seuls qui lui restaient!
« Et si je rate encore ma cible?»
« Mon adversaire est juste devant moi et il ne me laissera jamais l’opportunité de ramasser d’autres armes, c’est–à–dire que ces deux shurikens sont ma dernière chance >>
Si je l’utilise imprudemment, je risquerai de se mettre en danger!»
Shiko n’a pas ose agir imprudemment, il ne pouvait qu’avaler nerveusement sa salive et dire avec une certaine humilité
Monsieur, vous avez peut–être mal compris, je ne suis pas ninja, je suis juste un passionné des shurikens.
– Oh ?
Clément a souri joyeusement et lui a demandé :
– Tu n’es pas ninja, alors pourquoi me suis–tu ?
Shiko a dit à la hâte
-Je ne vous ai pas suivi, je suis juste venu ici pour pratiquer le shuriken après voir pris mon diner le soir …
Clément a ricané et a dit :
– Penses–tu que je vais croire une raison aussi stupide ?
Shiko a dit avec un visage innocent:
– Je je je dis la vérité
Clément a ricané
– Si je ne me trompe pas, tu devrais être employé de la famille Umezawa, n’est–ce pas ? Je vais te donner une chance de survivre, tu vas tout me dire illico presto, si ce que tu dis me satisfait, alors je pourrais envisager de te laisser partir.
Lorsque Shiko a entendu cela, il savait dans son cœur qu’il était inutile de le nier, et le nier le conduirait inéluctablement à sa mort.
Alors, il ne pouvait que dire timidement :
– Monsieur, je vais vous dire toute la vérité ! J’ai effectivement été envoyé par la famille Umezawa, et ils m’ont demandé de vous suivre de Tokyo jusqu’ici….
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Ne te précipite pas, j’ai encore des questions à te poser et tu ne pourras partir qu’après avoir répondu à toutes mes questions
Une idée est venue à l’esprit de Shiko et a il a demandé
Monsieur, puis–je puis–je me retourner et parler? Je suis vraiment très nerveux en vous tournant le dos comme ça
Clément a dit calmement:
– Daccord, fais demi–tour.
Shiko s’est retourné lentement, et quand il se retournait, il n’a pas posé le shuriken dans sa main.
En même temps, il a glissé doucement ses chaussures sur le sol, il n’avait apparemment rien d’inhabituel, mais Clément savait déjà ce que Shiko avait en tête.
Les chaussures de ce dernier étaient des chaussures de ninja spéciales. Non seulement ces chaussures étaient légères, mais plus important encore, il y avait un poignard à lame courte caché dans la semelle.
Le déclencheur de la lame était un curseur avec une texture spéciale dans la semelle.
Quand la personne qui portait ces chaussures marchait ou courait normalement et le curseur ne se déclenchait pas pour éjecter la lame courte, seul une action spéciale pouvait déclenchait le mécanisme d’éjection de la lame courte.
Ce type d’arme était très courant à l’époque des armes froides, et c’était le même cas au Pays C.
Dans de nombreuses œuvres cinématographiques et télévisuelles, ce type d’arme cachée a également été montré, mais le principe n’a pas été révélé. En fait, ce curseur équivalait à une code mécanique. Les autres ne savaient pas comment le déclencher, mais les utilisateurs eux–mêmes le savaient très bien et pouvaient faire apparaître le poignard à tout moment.
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