Chapitre 1199
Après avoir dit cela, Christian a tenu la main de Karine et l’a amenée de force dans la
voiture.
Karine a pleuré amèrement et à dit:
– Tu… tu dois au moins me laisser rentrer à la maison et prendre quelques vêtements
avec moi !
Christian a dit froidement :
–
Estime–toi heureuse que je ne t’ai pas enlevé les vêtements que tu portes sur toi ! Si tu dis encore une bêtise, je vais te les enlever et les jeter à la fenêtre !
Quand Karine a entendu cela, elle n’a pas osé en dire plus, elle ne pouvait qu’accepter de se faire traîner par Christian.
Voyant que Karine a été emmenée, Clovis a pointé du doigt Gabrielle et lui a fait signe
de venir.
Gabrielle avait des réticences dans son cœur, mais en ce moment–là, elle n’osait pas du tout désobéir à Clovis.
Elle ne pouvait que venir docilement devant Clovis et dire d’une voix tremblante :
– M. Clovis …
Clovis a hoché la tête, a pointée du doigt Gabrielle et Alban, et a dit au membre du personnel du Bureau des Affaires Civiles :
– Allez, fais–leur un certificat de mariage.
Le membre du personnel a demandé avec un air abasourdi,
– Ah? Leur faire un certificat de mariage?
– Oui. Fais–le tout de suite, a dit Clovis.
Alors que le membre du personnel était surpris, on n’a pas pas pu s’empêcher de raffermir son opinion de tout à l’heure.
« Cet Alban, malgré son âge de 50 ans, est en effet un salaud parmi les salauds. Il a même amené ensemble ici sa femme et sa nouvelle amante pour divorcer de son ex–femme et se marier avec sa amante en même temps, cet homme a–t–il vraiment un
cœur ? »
Alban a dit à la hâte :
– M.Gaël, ne vous inquiétez pas, je ferai certainement tout ce qui est en mon pouvoir pour rendre votre fille heureuse…
Gaël a ajouté:
– De plus, tu ne dois en aucun cas demander à ma fille d’avorter, sinon je ne t’épargnerai pas ! M’as–tu bien entendu ?
Alban était déprimé après avoir entendu cela.
<< N’est–ce pas juste l’enfant d’un étranger ? Pourquoi refuses–tu que ta fille avorte ? Si
ta fille accouche de lui, que pourra-t–il d’autre nous apporter à part la honte ?
Cependant, il n’a pas osé désobéir à Gaël. Après tout, Gaël était son principal partenaire d’affaires. S’il le provoquait vraiment, les revenus de toute la famille Bettencourt seraient grandement affectés.
Il ne pouvait donc que hocher la tête en signe d’approbation et dire :
– M. Gaël, ne vous inquiétez pas, je ne la laisserai certainement pas avorter. Gaël a été soulagé et a dit :
– Après la naissance de l’enfant, si vous ne voulez pas de lui, vous pouvez nous le donner et nous l’élèverons nous qui sommes ses grands–parents.
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