Chapitre 1155
Lorsque Clément, Chloé et Clélie ont quitté le quartier, la dernière s’essuyait encore
ses yeux.
Chloé la consolait sur le côté, et Clément ne s’est pas avancé pour leur laisser de l’espace.
A ce moment–là, de nombreux passants se sont rassemblés autour des deux voitures de sport garées au bord de la route. Ils se bousculaient pour prendre une photo avec elles.
Clément s’est approché et a séparé la foule devant l’Aston Martin, puis a ouvert la porte du passager pour laisser Clélie entrer.
Regardant la luxueuse voiture de sport devant elle, Clélie était bien stupéfaite et a demandé :
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Chloé, cette voiture…
– Mon mari l’a empruntée à son ami. Ne t’inquiète pas. Quand on va chez tes beaux–parents, ces deux voitures peuvent certainement t’aider à sauver la face! a
souri Chloé.
Clélie a dit d’un air triste:
– Chloé, ta BMW est déjà très bonne. Je ne m’attendais pas à ce que tu ailles emprunter une voiture à un ami. Tu as tant fait pour moi…
Chloé a répondu sérieusement:
– Clélie, nous sommes camarades de classe depuis de nombreuses années, et tu es aussi ma meilleure amie, donc je dois faire de mon mieux pour un événement aussi important que ton mariage. Tu n’as pas besoin d’être si polie avec moi.
Sur ce, elle a tapé sur l’épaule de Clélie et a ri:
– Bon, ne sois pas si polie. Dépêche–toi de monter dans la voiture. Nous devons rentrer maintenant, sinon il sera trop tard.
Clélie a hoché légèrement la tête avec des yeux rouges et a dit sérieusement:
– Chloé, merci!
Chloé lui a adressé un sourire réconfortant, puis elle l’a aidée à monter dans l’Aston
Martin.
A ce moment–là, la famille de Clélie s’est précipitée vers eux après les avoir vus.
Voyant ces deux voitures étranges, la mère de Clélie s’est empressée de dire à son
mari:
Je ne suis pas de très bonne humeur et ma patience a des limites. Je te donne 10 secondes pour régler tout cela, sinon tu seras responsable des conséquences.
En fait, Clément savait très bien qu’il était impossible pour un jeune homme comme Séverin de ne pas connaître ces deux voitures. Tant que Séverin pouvait les reconnaître, il n’oserait offenser Clément. Dans ce cas, il emmènerait définitivement ses parents dégoûtants.
A ces mots, Séverin a tremblé de peur et s’est précipité vers sa mère. Il a dit.
anxieusement:
– Maman, lève–toi ! Comment peux–tu rester couchée ici ?
Sa mère a froncé les sourcils et a dit :
– Si je ne m’allonge pas ici, comment puis–je te donner une maison où vivre ? Que tu
es bête !
Au bord des larmes, Séverin a baissé la voix et a chuchoté à l’oreille de sa mère :
Maman, tu es folle ? On ne peut pas se fâcher avec ces deux personnes ! Ces deux
voitures valent elles–mêmes dix millions d’euros !
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